[RP] Louis Lapeche

hrp : Voila, le rp démarre.

Sur les quais du port de Bordeaux, un capitaine avance seul, d'un pas mal assuré. La nuit est d'ores et déjà bien avancée, et il ne reste presque aucune âme qui vive sur les docks. Alors que l'homme allait rejoindre un piton d'amarrage pour s'y assoir, il aperçu au loin un grand jeune homme adossé a un mur qui observait les navires avec envie.
Il rejoignit l'inconnu assez difficilement et s'installa a coté de lui. Le jeune homme lui jeta a peine un regard. Il faut dire que, avec ses habits usés et sa barbe de vingt jours, il ne faisait pas très reluisant. Sur une impulsion, le vieux loup de mer tendit la bouteille de rhum qu'il tenait a son voisin. Celui-ci, bien que surpris, s'en saisit et en but deux bonnes gorgées.
"Merci bien, monsieur ... ???
- Nasean. Arthang Nasean. Et toi, tu t'appelle comment ?
- Louis Lapeche, monsieur.
- Dis-moi, Louis, ca te dirais de prendre la mer loin de ce continent pourri ?"
Le jeune homme regarda son voisin, interloqué. Il s'accorda quelques instant de réflexion.

hrp : LimitedeX, montre nous ce que tu vaux !

Louis continuait de reflechir lorsqu'il esquissat un bruit presque inaudible.
Louis: ...epte!
Le vieux loup de mer: parle haut fort et distinctement!!
Louis; d'un ton assure : J'accepte votre proposition mon Capitaine!!!
Le vieux Loup: Ah! J'aime mieux Ca moussaillon!

Durant toute la nuit louis et le capitaine discuterent de tout et de rien en s'enfilant bouteille de rhum après bouteille de rhum. Au petit matin, Louis se reveillat le premier et allat se promener au port, en se demandant quel bateau pouvait bien appartenir a ce vieux loup de mer.

Il s'assit donc sur un poteau d'ammarge et imaginat se que sa nouvelle vie allait lui appoter. C'est alors qu'une main se posa sur son epaule et une voie familiere lui dit de la suivre.

Sans sembler souffrir de sa beuverie de la veille, le capitaine Nasean marchait d'un pas vif le long du quai. Louis remarqua alors que sa démarche mal habile était due au fait qu'il boitait.
A chaque navire devant lequel il passait, le jeune homme s'imaginait qu'il s'agissait de celui du capitaine. Il se voyait déjà mousse sur une frégate ou un gros batiment.
Cependant, le capitaine s'arrêta devant un ponton vide et observa le soleil.
"Ils ne devraient pas tarder..."
Comme pour répondre a sa demande, une chaloupe surgit derrière les batiment avec quatre hommes à l'intérieur.
"Salut capitaine, qu'es ce que vous nous apportez la ?
- Une recrue Guillaume. Ça ne fera pas de mal.
- Ok cap'tain, vous montez ?
- Après toi Louis..."
Le jeune homme embarqua dans la chaloupe, d'ores et déjà jaugé par les quatre hommes. Dés que le capitaine fut a bord, la chaloupe reparti. Le jeune homme observait les navires au mouillage devant le port et remarqua un galion immense. Il s'imaginait dessus quand la chaloupe obliqua vers un sloop. Le capitaine Nasean observa alors sa recrue d'un air amusé par la déception qu'il affichait, et la route se poursuivit en silence.

L'air decut, Louis accepta le fait qu'il doit servir sur sloop! Mais Bon, au moins il a du travail. Une fois monte a bord, le capitaine cria ses ordres.
Le capitaine: louis viens avec moi.
Il s'executa entra dans la cabine du capitaine. Au bout de 5 minutes, il en ressortit avec un sceau et un balet.
Le capitaine: Frotte fort! Je veux que sa brille! Et le premier qui rigole sera de nettoyage de la calle pendant une semaine!
Ce fut le seul momment ou il y eut le silence total sur le pont. Puis ils se remirent au travail. Louis passat presque la journee a recurrer le pont du navire. Lorsque le soir vint le capitaine donna un hamac a Louis et lui demanda d'aller dormir en lui precisant qu'un emtrainement special l'attendait le lendemain.

Le lendemain matin, ainsi que toute la semaine suivante, Louis pu voir l'équipage s'entrainer par roulement a l'escrime et au tir au pistolet et au mousquet. Il interrogea le capitaine sur les raisons de cet entrainement poussé, mais ne reçu qu'un sabre dans les mains dont il dut vite apprendre a se servir contre le vieux loup de mer. Celui-ci, malgré son handicap, était un habile escrimeur et le jeune homme ne sorti de son premier entrainement qu'avec une quinzaine d'estafilades. Voyant le sang commencer a couler, le capitaine l'avait en effet envoyé au chirurgien pour le "réparer".
Tout les jours qui suivirent furent marqués par la même routine. Le sloop dépassa rapidement de nombreux bateaux français parti avant lui, indiquant bien sa vitesse de progression. En effet, l'avantage du sloop était sa vitesse. Il voguait vite vers l'ouest, plus vite que n'importe lequel des bateaux dont Louis rêvait.

Ce ne fut qu'au bout de la troisoime semaine d'entrainement intensif et de nombreux passages a l'infirmerie que Louis arrivat a mettre a terre le capitaine. Ce fut en effet la premiere et unique fois que l'equipage vit sont capitaine allonge sur le pont avec un sabre sur la pomme d'adam.
Tous esclaferent des cris de joie y compris le capitaine. Une autre semaine, s'ecoula et louis arrivait a vaincre en combat singulier tout le reste de l'equipage, le capitaine le convocat peut de temps après dans sa cabine.
Le capitaine: petit, il faut que je t'avoue quelque chose.
Louis : je vous ecoute
C : vois tu, si nous nous entrainons tous Les jours a l'escrime et au tir ce n'est pas pour passer le temps, mais parce que nous sommes des pirates des Caraïbes. Nous nous rendons de ce fait a la tortue plur finir ton avènement de pirate et de fard signer de tn sang la Chartre des pirates.
Louis : ah! Ben si j'avais su, je cris que je serai venu quand même.
C: heureux de l'entendre nous serons a la tortue dans une semaine au plus.

"Au passage, tu constatera que ce sloop n'a été emprunté que pour accélérer un passage imprévu quoique obligatoire que je devait faire en France, et que mon navire est bien plus beau que ce sloop..."
Bondissant de joie, Louis regagna son hamac pour la nuit. Le lendemain, il allait retrouver le capitaine pour son entrainement quotidien. Il se mettait en garde avec son armes quand il remarqua que son capitaine avait pris non pas un, mais deux sabres. Le combat fut cette fois bref. Louis fut affublé d'une estafilade sur le torse en moins de deux minutes. Son sang en coulait abondamment et il dut être amené a l'infirmerie porté par le bosco. Le chirurgien soigna sa plaie tout en discutant avec la recrue...
" Il a sorti le deuxième sabre ? Je me demandais quand il allait se dévoiler... Notre capitaine est le meilleur combattant des caraïbes avec deux sabres. Nul ne l'a jamais vaincu ainsi, même si a une arme la moitié de l'équipage le dépasse. Quand il sort les deux sabres, ca veux dire que tu t'entraine avec l'équipage, que tu as le niveau.
A mon avis, tu va rester quelques jours allongé..."

HRP : soigne ton orthographe, relis-toi !

Louis suivit donc les conseils du chirurgien et resta allonge penda trois jours. Le capitaine venait le voir tous les jours pour lui apporter a manger. Louis monta alors sur le pont le bateau était arrete et désert. La seul et unique barque avait également disparut. Il vit alors au loin un rassemblement sur la plage, avec le capitaine en tête du cortège. A l'aide d'un portevoie, il lui cria: sauté et nage jusqu'a la plage. Ceci est la premiere premiere epreuve.
Louis hesita puis sauta a l'eau. Il remarqua qu'il flottait il se mit donc a remuer et atteignit la plage en moins de cinq minutes.
C: bien, maintenant suis nous!

"Nous sommes a la Tortue ?"
"Pas encore Louis. Je ne vais pas aller a la Tortue en Sloop ! Non, nous allons nous faire reprendre par le reste de mon équipage. J'en profite pour finir les tests. Tu vois cette falaise la, le long de la plage ? Escalade là pour nous informer de l'arrivée du navire."
Louis, intrigué, s'approcha des rochers. L'ascension fut hardie et il manqua plusieurs fois de tomber, mais il arriva bien en haut. Obéissant a son capitaine, il observa les flots et ne vit rien pendant un moment, ci ce n'est un banc de brouillard au large. Après une heure d'observation, Louis vit enfin sortir du brouillard un immense vaisseau d'au moins cents canons.
"Capitaine ! Je vois un navire qui vient par ici, m:ais il est vraiment énorme !"
Tout l'équipage en bas éclata de rire, puis le vieux loup de mer pris la parole :
"Il a un nom ce navire ?
- Oui capitaine... On dirait..."
La voix de Louis s'étrangla. Même en France, ce nom était connu.
"Le Dark Sea monsieur."
Les rires redoublèrent. Louis voyageait avec une Légende de la piraterie...

Louis descendit la falaise en quatrieme vitesse. Il fut acceuillit par le second du capitaine mr Gobbs, ils monterent tous deux dans la chaloupe et se dirigerent vers le navire.
Mr G : on attend plus que vous mon capitaine, l'ile de la tortue a deja rassemble tout Les membres de la confrerie. ( eh oui c'est aussi l'anniversaire du capitaine)
C : tres Bien, alors hissez Les voiles, bande d'incapable, le navire ne vas pas avancer tout seul
l'equipage : Chef oui chef!!!
Le capitaine : Louis retourne a terre avec 20 hommes, je te confie le sloop jusqu'a la tortue, je veux voir tes capacites a naviguer

Louis heureux de cette nouvelle prit Les meme hommes qu'il avait cotoyer depuis le debut du voyage. Le capitaine mit donc le cap sur la tortue avec Louis a son train dans le sloop transportant le vin de France et le cadeau d'anniversaire glisse discretement par l'eauipage.

A coté de l'immense batiment, le sloop paraissait vraiment petit. Avec ses deux ponts et ses cent canons par bordée, en plus de deux couleuvrines avant et arrières, le Dark sea était une monstrueuse machine de guerre capable de combattre même les vaisseaux de ligne de certaines marines. Cependant, la mystère de sa conception résidait dans sa vitesse. Bien que plus lent qu'un sloop, il était amplement plus rapide que la moyenne des vaisseau de sa taille.
Ses trois mats et ses nombreuses voiles tant carrées que triangulaire rappelaient les anciennes caravelles, et lui offraient les même avantages. Les avirons qu'il cachait lui permettait encore d'accélérer si besoin, et les quelques pierrettes dissimulées sur le pont en rendaient l'abordage difficile.
Ce batiment était une merveille de la mer, envié par de nombreux pirates et dont les cinq cents hommes de l'équipage étaient célèbres et craints par tout les Caraïbes, et même au delà...

Le lendemain, la mer était calme et ensoleillee, Louis sortit le premier de sa cabine. Il remarqua que les voiles etaient collées au mat du navire et qu'il n'avancait plu. Il appela le capitaine. Au bout de cinq minutes, il arriva enfin. Le capitaine lui précisât que le temps était tout a fait normal et que le vent ne reviendrai que le lendemain.

Une fois, l'équipage prêt Louis leur expliqua la situation et le programme de la journée.

PECHE, pour tout le monde. Il descendit dans la cale et remonta vingt et une cannes a pêche. La partie commença lorsque le capitaine interrompit Louis. Il leur demanda ce qu'ils faisaient.

Nous pechons pour passer le temps
oh! Quelle activité ridicule, nous nous entrainons
mais nous aussi!
Ah oui? Voyez vous cela!?!
A survivre c'est tout un art

le capitaine repartit vers ses hommes, Louis n'entendit plus un bruit...

Cependant, peu de temps après, se furent plusieurs centaines de cannes a pèches qui jaillirent du batiment principal. Autant dire que les poissons du secteur furent vites épuisés. Alors que le soleil était a son midi, le Black Sea changea ses cannes contre les avirons. Au grand déplaisir de Louis.
Le capitaine lui cria, déjà au loin
"Maintenant, ton nouvel objectif sera de nous rattraper avant Tortuga. Bon vent, si j'ose dire..."
Le vent ne fut guère bon. Bien après que le Black sea ait disparut a l'horizon, alors que tombait la nuit, une légère brise commença a souffler. Louis allait sauter de joie quand il se rendit compte qu'il ne savait pas du tout ou était Tortuga.

Par chance son second provisoire connaissait la route de nuit vers tortuga, et oui il était le barreur du black sea a une certaine époque. Une fois, la route tracee, louis cria ses premiers ordres. Le sloop commença par avancer a la vitesse de deux noeuds a l'heure. Louis se réjouit lorsqu'il vit que la mer s'agitait au loin. Une fois la calm belt passee, le sloop accéléra jusqu'à la vitesse de 20 noeuds. Louis vit au petit matin le black sea a l'horizon. Ils le rattrapèrent deux heures plus tard. Le capitaine fut surpris par l'exploit de son apprenti.

Louis salua son capitaine d'un geste bref et lui dit:
on se retrouvera a la tortue vieillard!
Sacre bleu nom d'un pillon vermoulu, toutes voiles et avirons dehors, rattrapaient moi ce marin d'eau douce.

Le sloop fit la grossière erreur de vouloir passer a coté du drak sea. La taille de se dernier lui masqua le vent, permettant a l'immense batiment de prendre une longueur d'avance. Tout avirons et toutes voiles sorties, le dark sea filait comme un dément dans l'écume, mais la maniabilité du sloop allait logiquement l'emporter. Cependant, c'était sans compter sur les lois de la piraterie, ou plutôt leur absence.
Le capitaine Nasean arma calmement une des couleuvrines arrières et, alors que le sloop passait dans l'axe du Dark sea, il tira un coup de boulet ramé, décapitant ainsi le seul mat du sloop dont la voile, désormais inutile, flottait au vent.
Pestant, Louis demanda au charpentier de bord de réparer au plus vite, mais celui-ci, malgré toute sa bonne volonté, mis deux longues heures a réparer.
Au moment ou le sloop repartait, le Dark sea entrait dans la rade de Tortuga.

Le sloop entra donc que deux heures plus tard dans le port. Le capitaine et son equipage étaient déjà a terre. Louis fit de même et se dirigea vers la taverne de l'île ou il y trouva le capitaine et son équipage qui buvait abondamment.
Ah Louis! Approche, la cérémonie est prévue pour demain, mais ce soir une autre surprise nous attend.
Oui, mon capitaine l'équipage m'a mis au courant. A ce soir donc.

Pendant que son équipage s'adonnait a ses activités de plaisance, le capitaine sorti de la taverne. Tortuga était le lieu le plus sur pour un pirate, mais jamais il n'avait consenti a laisser son navire sans surveillance. Trop beau, nombreux étaient ceux qui voulaient le posséder. Aussi, pendant que la moitié des hommes festoyaient a terre, l'autre s'amusait sur le navire.
Il vint les saluer puis reparti s'enfoncer dans l'ile dans un but inconnu. Nul ne le suivit, et il ne revint que de longues heures plus tard, a la nuit tombée, pour rouvrir la porte de la taverne.

HRP : ceci est un exemple a ne pas suivre, le post étant trop court, mais la je doit y aller...

Lorsqu'il entra et referma la porte, tous les pirates de la taverne crièrent en coeur un JOYEUX ANNIVERSAIRE au capitaine. Il faillit faire une crise cardiaque, il les remercia d'un signe de la tête et ordonna au barman de servir a boire a tout le monde jusqu'au matin, et tout cela a ses frais. Vers minuit, on offit les cadeaux au capitaine, ils allaient de la prostitue au fusil dernier cri mais lorsque ce fut le tour de Louis, le capitaine fut surpris par son cadeau. Un sabre au manche d'or et a la lame de diamant. Le capitaine demanda comment Louis avait eu se bijou de la marine hollandaise. Il lui dit que c'est son père qu'il a obtenu au cours d'un combat pour sauver son bateau de pêche.

"A terre!!! Moussaillon!!!"
Louis s'executa
"Moi Nasean! Dieu des 7 mers! Je te nomme par cette épée pirates des 7 mers! Quant a moi je jure solennelement devant vous mes frères que je ferai de ce gaillard le meilleur pirate que la mer est connu!"
en cœur HOURRA!!!
"lève toi et prend ce sabre que tu viens de m'offrir, il sera ta force, ton esprit et ta raison ton vivre"
le capitaine se tailla une effiloche dans ma main.
Fait de même et serons nous la main.
Louis s'executa.
Bien maintenant que nous sommes frères tu es lie A moi jusqu'à la fin de ta formation